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El Haouz dans mes veines… (Episode 1)

Quand on évoque El Haouz, je ne pense pas seulement à une province, mais à un souffle de vie. C’est une terre qui vibre au rythme des montagnes et des vallées, où chaque pierre, chaque rivière, et chaque sentier portent une mémoire. Même si je n’étais pas présent lors de la deuxième étape du programme CESAR II, c’est comme si cette terre était venue à moi, par le biais des récits et des regards de l’équipe d’EBF qui s’y est rendue. Ils m’ont rapporté l’essence même du Haouz : sa force tranquille, sa résilience et son ambition. Il m’ont rapporté son hospitalité.

C’est dans un lieu chargé d’histoire que l’équipe s’est arrêtée pour accueillir les porteurs de projets. Les murs étaient ornés de photos des figures qui ont façonné le Maroc, des rois visionnaires aux combattants héroïques de la résistance. Ce décor semblait raconter l’histoire du pays tout en abritant ses aspirations futures. Dans ce mélange de tradition et de modernité, les discussions se sont animées autour des idées, des rêves et des projets concrets de ces habitants qui incarnent un Maroc entreprenant. Chaque visage, chaque voix, portait en elle une part de cette grande fresque nationale qui continue de s’écrire.

« Bâtir une nation, c’est d’abord bâtir des hommes capables de porter ses rêves et de les transformer en réalité. » Ces mots de Feu Hassan II résonnent avec force. Ils résument ce que nous cherchons à faire avec EBF Impact, notre nouveau branding pour 2025. Ce n’est pas un slogan, mais une aspiration : replacer l’humain au cœur de tout. Car qu’il s’agisse de startups, de TPE ou de coopératives, c’est toujours l’humain, avec son courage, ses doutes et ses rêves, qui est au centre de nos actions.

Ce branding marque une étape pour EBF. Il symbolise notre engagement envers un développement territorial où chaque province, chaque village, peut devenir un moteur de transformation. Et quoi de mieux que d’entamer cette année par El Haouz, où l’âme du Maroc profond s’exprime avec tant de puissance ?

« Le Maroc de demain repose sur l’esprit d’innovation et d’initiative. Chaque jeune entrepreneur est une pierre dans l’édifice de notre développement. » Sous le règne de Sa Majesté Mohammed VI, cette vision devient une réalité. Mon royalisme, que j’ai pleinement embrassé depuis une décennie, n’est pas un simple sentiment. Il est profondément nourri par l’admiration pour ces discours qui éclairent notre chemin, ces appels à l’innovation, à la solidarité et à la construction collective.

Mais au-delà des discours, il y a cette réalité concrète : le Maroc est à un moment décisif. Ce que nous accomplissons dans des régions comme El Haouz, ce que chaque entrepreneur, agriculteur ou artisan construit, c’est bien plus qu’un projet individuel. C’est une contribution à un rêve collectif, un Maroc où le rural n’est pas périphérique mais central, où chaque communauté, avec sa richesse et son authenticité, joue un rôle crucial dans l’édifice national.

Alors que 2025 commence, je vois cette année comme une invitation. Une invitation à continuer à bâtir, à unir, à croire. Cette étape des caravanes CESAR II n’est pas seulement un événement marquant ; elle donne le ton, la couleur et l’énergie pour tout ce qui viendra.

Au final, ce texte est peut-être une déclaration d’amour pour ma terre natale, pour ses habitants et pour ce Maroc qui entreprend, innove et s’élève, toujours avec résilience et humanité. Et si, ensemble, nous pouvions faire de 2025 une année où ces aspirations deviennent des réalisations ?